
6 février 2019 — Benoît Pichaud
Marseille, rue Consolat, octobre 2018 /
Le tag ou aphorisme urbain, ou champêtre, est avec le haïku une sorte d’avatar ultime des formes littéraires brèves. J’inaugure donc ici une nouvelle série de publications qui lui seront consacrées. Sauf mention contraire, je suis l’auteur des clichés.
J’espère que ceux d’entre vous qui les ont déjà vus sur d’autres supports excuseront la redite et ne se lasseront pas (il y en aura de nouveaux !). Quant à ceux qui ne jurent que par les livres et/ou râlent contre la dégradation de nos murs, je forme le vœu qu’ils lèvent le nez de leur lecture pour découvrir et s’étonner de cette forme d’expression pourvoyeuse de poésie, d’humour, d’absurdité, d’ironie, de violence, d’intelligence, de vie en somme.
je n’ai pu voir qu’une photo, où puis-je voir les autres
Nicole
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Mais quelle impatiente ! La suite arrive au compte goutte. Merci de ton attention.
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